De nombreux articles et ouvrages sur le recrutement et les ressources humaines nous assurent qu’à notre époque, la rémunération n’est plus le critère principal lorsqu’on décide de travailler pour une entreprise ou de postuler pour un emploi.

Même s’il est vrai que l’on s’intéresse de plus en plus aux valeurs de l’entreprise, à ses missions, à celles du futur employé mais également aux perspectives d’avenir et de mobilité internationale qu’elle propose, il est indéniable que la rémunération compte toujours.

La personnalisation de la rémunération : nouvelle tendance

Elle reste le garant de l’engagement et de la motivation du collaborateur, notamment dans un monde du travail qui devient de plus en plus concurrentiel.
D’après un article de Focus RH, les experts du recrutement et de la rémunération conseillent d’attribuer des « valeurs » aux salariés, un peu comme des classes ou comme les échelons dans le secteur public. Ces « valeurs » attribuent un salaire et des bonus, et évoluent en fonction des objectifs atteints, en fonction des évaluations ou encore en fonction de la performance.

Lors d’une négociation de salaire et de bonus, une nouvelle tendance émerge : la personnalisation de la rémunération. Il est vrai que cela a toujours existé, en particulier pour les négociateurs hors pair. Mais aujourd’hui, comme certains employeurs décident de prendre plus en considération les attentes de leurs collaborateurs pour leur montrer qu’ils sont écoutés et valorisés, de plus en plus de salariés qui hésitent à négocier ont la possibilité de choisir des packages. On leur propose différentes options qui feront monter ou leur salaire fixe, ou bien leur salaire variable.

Fidélisation et rémunération : une réalité

Ceci est en train de devenir de plus en plus commun car on se rend bien compte que la fidélisation de l’employé passera toujours par la rémunération. Il ne faut pas se faire d’illusion, la première raison pour laquelle un salarié décide de quitter son poste (hors cas d’extrême urgence comme le harcèlement), c’est parce qu’il a trouvé plus intéressant ailleurs, que cela va lui rapporter plus. C’est après le critère rémunération que vient le critère « qualité des missions ».

La question de la rémunération reste donc toujours aussi importante, et aujourd’hui encore plus, en particulier dans les branches où il y a plus de postes que de talents. Les recruteurs ne doivent absolument plus l’évoquer que brièvement et innover car c’est la rémunération qui reste la garante de la motivation et de la performance d’un collaborateur.

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